La langue maternelle du 14ème dalaï-lama est le chinois
par Jean-Paul Desimpelaere, le 26 mars 2009
La langue maternelle du 14ème dalaï-lama est le chinois et son lieu de naissance, un choix politique. Le village natal du 14ème dalaï-lama, Taktser (ou Hongya en chinois) se trouve non loin de la ville de Xining, capitale de la province de Qinghai, à mi-chemin entre Lhassa et Pékin, donc relativement loin du Tibet. Toutefois, pour le 14ème dalaï-lama, cette région fait partie de son « Grand Tibet ».
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Un peu de morale dalaïste
par Jean-Paul Desimpelaere, le 16 mars 2009
Dans une interview avec la revue française “Le Point”, publiée le 22 janvier 2007, le dalaï-lama expose quelques unes de ses positions ‘morales’. L’article en question s’intitule : “Bouddhisme : sexe, morale et vache folle, le dalaï-lama parle”. Je vous en livre des extraits, sans commentaires...
Deux lettres de “bonne année” de la part du 14e dalaï-lama
par Jean-Paul Desimpelaere, le 8 mars 2009
Le 26 janvier 2009, le 14ème dalaï-lama publiait une lettre avec ses « vœux de bonne année pour tous les Chinois », ceci à l’occasion du Nouvel An Chinois. Le 24 février, il en écrivait une autre pour « tous les Tibétains » à l’occasion du Nouvel An tibétain. Les lettres ne contiennent pas de message religieux, ni de considérations philosophiques, elles ne sont pas imprégnées d’une haute spiritualité. Ce sont deux manifestes politiques, du début à la fin. Chez nous, s'ils émanaient d'un archevêque, nous renverrions de pareils pamphlets à leur expéditeur.
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L'alliance taïwanaise du Dalaï-lama ne plaît pas à la Chine
par Jean-Paul Desimpelaere, le 7 mars 2009
Pourquoi la Chine demande-t-elle au 14ème dalaï-lama de reconnaître que Taïwan fait partie de la Chine ?Pourquoi le Dalaï-lama fait-il la sourde oreille ?
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Le réseau de soutien au dalaï-lama appelle au boycott du train vers Lhassa
par Jean-Paul Desimpelaere, le 26 février 2009
Le 14ème dalaï-lama craint que trop de Chinois n’empruntent la nouvelle ligne de chemin de fer qui relie la Chine centrale à Lhassa mais, en tant que diplomate divin, il se doit de mesurer ses mots. Son « gouvernement en exil » se fait son porte-paroles et dénonce un « phénomène de colonisation chinoise qui risque de s’aggraver avec l’ouverture de la ligne ferroviaire vers Lhassa ». Le réseau international soutenant le dalaï-lama l’exprime avec encore plus de véhémence.
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Le train vers Lhassa vu par le dalaï-lama
par Jean-Paul Desimpelaere, le 25 février 2009
Depuis le 1er juillet 2006, Lhassa est relié au réseau de chemin de fer chinois. Lhassa est le terminus. Une gare entièrement neuve a été aménagée, située à l’écart du centre-ville, à proximité d’un bourg de banlieue qui tout à coup est devenu un petit centre urbain grouillant de vie.
Chaque jour, quelques milliers de voyageurs et plusieurs tonnes de marchandises circulent dans les deux sens sur la ligne qui relie Xining, la capitale du Qinghai, à Lhassa. Fini les colonnes de camions bruyants, entourées de leur fumée noire de diesel, qui déboulaient sur les cinq axes routiers conduisant jusqu’à Lhassa. Mais le « train le plus haut du monde », de quoi est-il le symbole ?... d’une invasion chinoise ou d’une caravane de pèlerins ? Qui prend le train vers Lhassa ?... ou mieux dit : qui « a la permission » de prendre le train vers Lhassa ?
Le dalaï-lama a écrit une lettre ouverte à tous les Tibétains
par Jean-Paul Desimpelaere, le 19 janvier 2009
En analysant cette lettre, nous y trouvons quelques propos « juteux »...
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Critiques du dalaï-lama à la Chine
par Jean-Paul Desimpelaere, le 10 décembre 2008
L’actuel dalaï-lama répète souvent qu’il n’éprouve pas de haine vis-à-vis de la Chine, ce qui pour un prix Nobel de la Paix et un leader bouddhiste est la moindre des choses ! Pourtant quelques-unes de ses déclarations, tirées ci-dessous d’une interview donnée le 17 janvier 2008 au « Nouvel Observateur », laissent songeur...
Le dalaï lama revendique une autonomie poussée pour le Tibet
par Jean-Paul Desimpelaere, le 29 novembre 2008
Lors d’une conférence de presse qu'il a tenu au Japon au début du mois de novembre 2008 (voir agence AFP dans « Le Soir » du 4 novembre), le 14e dalaï-lama a déclaré que sa demande pour « plus d’autonomie au Tibet » - qui remplaçait son ancienne revendication d'indépendance - avait échoué. « Ma confiance dans le gouvernement chinois a diminué d'autant ; la répression, quant à elle, est en augmentation ; je ne peux pas dire que tout va bien. Je dois admettre que nous n’avons pas réussi, nos projets pour amener des changements ont échoué et, dans un même temps, les critiques à l’intérieur de la communauté tibétaine en exil fusent », a-t-il déclaré.
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La Chine, le Tibet et le dalaï-lama
par Domenico Losurdo, le 8 avril 2008
Domenico Losurdo, professeur d'histoire et de philosophie (Italie)
article publié dans « L’Ernesto. Rivista Comunista », n° 5, novembre/décembre 2003, p. 54-57. Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio pour www.planetenonviolence.org
Célébré et transfiguré par la cinématographie hollywoodienne, le dalaï-lama continue sans aucun doute à jouir d’une vaste popularité : son dernier voyage en Italie s’est terminé solennellement par une photo de groupe avec les dirigeants des partis de centre-gauche, qui ont ainsi voulu témoigner estime et révérence à l’égard du champion de la lutte de « libération du peuple tibétain ». Mais qui est réellement le dalaï-lama ?
Traduire le "kalachakra" en dialectes tibétains
par Jean-Paul Desimpelaere, le 30 mars 2007
En janvier dernier, le 14e dalaï-lama déclarait qu’ il serait « fort utile de traduire les rituels du kalachakra dans les dialectes de l'Amdo et du Kham » (voir ICT, janvier 2006).
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