L’autonomie du Tibet : une interaction entre « central » et « local »

par Jean-Paul Desimpelaere, le 22 mars 2009

Peu de personnes savent, chez nous, que la province tibétaine est une région déclarée « autonome » depuis 1965 par le gouvernement chinois. On la nomme la « R.A.T. » ou Région autonome du Tibet. « Mais de quelle autonomie s'agit-il ? », se demandent les pro-dalaï-lamas ? Par ailleurs, nous comprenons souvent le mot ‘autonomie’ en termes ‘d’exclusion’ :

Le « Tibet chinois », en 10 questions posées à Jean-Paul Desimpelaere

(cet interview à lire aussi sur :  Reflets de Chine - Un autre regard sur la Chine)

par Alain Albié, le 8 mars 2009

Plutôt que d’envoyer une équipe de journalistes enquêter sur la réalité du Tibet au monastère tibétain de Labrang, qui est en termes d’image commerciale ce que Lourdes est aux catholiques, j’ai préféré demander son avis à une personne qui connaît réellement le Tibet et non pas seulement quelques « images d’Épinal » prises lors du dernier voyage à vocation touristique. Jean Paul Desimpelaere est une de ces personnes qui a une incontestable expérience du Tibet et je lui ai posé dix questions afin de cerner davantage la réalité de cette région qui fait couler tant d’encre.

Le Tibet, autrement : des images qui n’ont pas fait le tour du monde


par Alain Albié, le 4 mars 2009
(également à lire sur :  Reflets de Chine - Un autre regard sur la Chine)

Un an après les événements dramatique qui ont eu lieu à Lhassa, je reste scandalisé :
lire l’article en ligne et voir des vidéos qui n’ont pas fait le tour du monde.

Maintien de l’ordre dans la vielle ville de Lhassa

par Jean-Paul Desimpelaere, le 16 février 2009

Au cœur de la vieille ville, des « petits soldats verts » et des « grands policiers noirs » circulent entre les touristes, en avançant au même rythme que les pèlerins. Pas une seule fois, je ne les ai vus contrôler une identité, ni fouiller quelqu’un. Pourtant, au mois de novembre 2008, lorsque j’étais à Lhassa, voici ce qu’on racontait en Europe : « la tension est palpable dans la capitale tibétaine, tout le monde est soupçonné, la répression est terrible ». Je n’ai pas eu l’occasion de le constater.

Suite aux événements de mars 2008, le témoignage d'une jeune française habitant à Shanghai.

par Marine, le 17 mai 2008

Je suis Française et vis en Chine, où je suis venue pour la première fois en 2002, un peu par hasard. Je suis arrivée sans connaître le pays, et sans aucune idée de ce à quoi je devais m’attendre. Je ne suis ni communiste, ni une "fana" de la Chine (mais je dois dire que plus je le connais, plus j’aime ce pays), et je pense écrire ces lignes en toute neutralité.

Quelle issue pour la crise Chine -Tibet ?

par Elisabeth Martens, le 19 avril 2008

La première chose à remettre au clair est qu’il faut distinguer entre les problèmes internes de la Chine (que nous appelons le « problème sino-tibétain ») et les tensions entre la Chine et l’Occident (qui se manifestent e.a. via les Tibétains en exil).

En mars 2008, l’actualité a placé le Toit du Monde sur le faîte du toit

par Elisabeth Martens, le 19 avril 2008


Quelle issue pour ce conflit qui dure depuis plus de cinquante ans  et qui nous est sporadiquement rappelé par un événement violent ? La première chose à remettre au clair est qu’il faut distinguer entre les problèmes internes à la Chine (ce que nous appelons le « problème sino-tibétain ») et les tensions entre la Chine et l’Occident (qui se manifestent e.a. via les Tibétains en exil).

Le "soulèvement" en mars 2008 : de l’intérieur ou de l’extérieur ?

Interview d’Élisabeth Martens par Benito Perez, le 27 mars 2008

(interview parue également sur le site des éditions Golias )

Une interview d’Élisabeth Martens, auteur de « Histoire du Bouddhisme tibétain, la Compassion des puissants », (L’Harmattan 2007), par Benito Perez pour « Le Courrier de Genève », parue en résumé en mars 2008. En voici le texte intégral .

Cinq questions à propos du soulèvement du 14 mars 2008 au Tibet

par Peter Franssen, le 19 mars 2008

Vendredi 14 mars dernier, une émeute éclatait à Lhassa, la capitale de la Région autonome du Tibet. Partout dans le monde, ces événements ont donné lieu à des protestations contre l’intervention de la police anti-émeute et l’armée chinoises. Voici cinq questions à ce propos et, chaque fois, une esquisse de réponse.