à propos de "Histoire du bouddhisme tibétain", commentaires sur amazon
5,0 sur 5 étoiles
Un pavé dans la mareParT. Kumsehle 11 octobre 2016
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Achat vérifiéVoici un livre qui dérange. On n’a qu’à lire certaines critiques courroucées, pour ne pas dire : haineuses, qu’on lui a adressées. Cela tient au fait que l’ouvrage s’adresse à des lecteurs qui ont gardé l’esprit ouvert et une certaine curiosité intellectuelle. Ce n’est pas le cas de tout le monde, et il faut avouer que ce livre ne se prête guère à satisfaire les besoins d’auto-encensement de quelque bouddhiste ou militant pro-Dalaï-lama francophone. Vu le caractère tout à fait sommaire des commentaires négatifs, on a d’ailleurs la nette impression que les détracteurs de Madame Martens condamnent le livre sans jamais l’avoir lu. Que penser en effet de ce genre de spécialiste autoproclamé qui fustige les erreurs « innombrables » de l’auteure sans être à même d’en prouver une seule.
Paru chez L’Harmattan, dans la série Recherches Asiatiques, l'ouvrage traite son sujet en largeur et en profondeur. Élisabeth Martens ne se limite ni au Vajranaya, autre nom de ce qu’on a l’habitude d’appeler « bouddhisme tibétain », ni à son histoire au Tibet. « L’Histoire du Bouddhisme au Tibet » n’est en effet que le deuxième de ses trois grands chapitres. Il est à son tour subdivisé en huit parties : une sur la période pré-bouddhiste et la religion Bön et plusieurs parties qui traitent des différentes phases de son évolution (première implantation, renaissance du bouddhisme après les persécutions du 9e siècle, son expansion, la réforme de Tsongkhapa, les douze premiers dalaï-lamas, le 13e sous les influences russes et britanniques, le bouddhisme tibétain sous le drapeau chinois). Un premier chapitre sur « Le Bouddhisme avant son entrée au Tibet » le précède et renseigne le lecteur sur l’ « enseignement originel du Bouddha » ainsi que sur le « Grand Véhicule » et son expansion en Chine. Enfin, un long chapitre consacré au « Bouddhisme tibétain en Occident », c’est à dire aux mythes, aux modes et aux mystifications qui accompagnent et caractérisent sa réception occidentale (l’auteure se consacre, à tour de rôle, aux théosophes, aux impostures du type Lobsang Rampa, aux « penseurs » tels que Julius Evola et René Guénon, ou encore au « marketing du Bouddhisme tibétain » sur le marché des religions), clôt un ouvrage qui « invite le lecteur », comme l’indique l’éditeur, « à parcourir d’un pas alerte les coulisses du Bouddhisme tibétain.
Ses détracteurs lui reprochent des sources insuffisantes ou partisanes ? Sa bibliographie comporte pourtant bien plus de 120 titres . Pas tous n’ont pour auteur un tibétologue universitaire, et pas tous ne traitent du bouddhisme tibétain ou du Tibet, puisque le livre aborde aussi le bouddhisme originel, le Zen japonais etc. Y figurent pourtant des écrits de tibétologues éminents tels que Melwyn Goldstein ou d’André Bareau. Mais je pense que ce qui dérange certaines personnes, ce ne sont pas des lacunes éventuelles dans les sources utilisées, mais la présence, à côté du dalaï-lama et de ses Ricard, Lenoir et Van Walt van Praag, d’auteurs comme les époux Trimondi, Michael Parenti, June Campbell ou Patrick French, ou encore des témoignages comme celui de Conboy/Morrison sur la guerre secrète de la CIA au Tibet.
On le sait bien : quiconque a le culot de critiquer « Sa Sainteté » ou ses nombreux adeptes doit s’attendre à une volée de bois vert, pour laquelle le néologisme franglais « shitstorm » me semble plus indiquée. Mais que ceux qui accusent Madame Martens d’ « ignorance », de « méconnaissances nombreuses » et d’erreurs « innombrables » (sans toutefois être capables d’en prouver une seule), et qui osent invoquer la « richesse infinie » du bouddhisme tibétain que l’auteure aurait « déformée » et « maltraitée », prennent garde. Car la vérité des faits a plus de poids que calomnies et imprécations, et les faits parlent un langage de plus en plus clair.
Les faits récents qui nous donnent une idée de la « richesse infinie » du bouddhisme tibétain en Occident sont par exemple ceux-ci :
Au début de 2016, on pouvait lire dans la presse belge des gros-titres sur un procès dirigé contre la communauté bouddhiste « Ogyen Kunsang Chöling (OKC) » , considérée de longue date comme une secte par le ministère public belge. OKC est le nom donné à un ensemble de centres du bouddhisme tibétain répartis en Europe (Belgique, France, Portugal) et aussi à Tahiti. Ces centres ont reçu la bénédiction de « Sa Sainteté le Dalaï Lama » et des Maîtres les plus respectés du bouddhisme tibétain. Les accusations de la justice belge sont graves : les 25 personnes qui se sont constituées partie civile se sont plaintes de mauvais traitements et d'abus sexuels. Une jeune femme témoigne : « Je suis née à Château de Soleils (domaine appartenant à l’OKC), j’y ai vécu jusqu’à l’âge de 11 ans. C’était des années de soumission, de peur et de faim. (…) Ensuite, j’ai dû partir dans un monastère de la communauté en Algarve, au Portugal. J’y ai perdu ma virginité à l’âge de douze ans ». Puis d'expliquer les abus sexuels dont elle a été victime, entre autres par Robert S., le fondateur de l’OKC., qui se fait appeler « Lama Kunzang ». Robert S. est en outre accusé de faux, usage de faux, fraude fiscale, escroqueries, extorsions, blanchiment, abus de confiance, infraction aux lois sociales, port public de faux nom, prise d'otages, association de malfaiteurs et organisation criminelle.
Autre exemple ; je cite : « L’ancien bras droit de Sogyal Rinpoché, Olivier Raurich, se confie sur les révélations concernant le temple bouddhiste de Lodève. Il alerte sur ce qu'il appelle une "imposture". (…) " J'ai mis ce qui me gênait de côté parce que je pensais que des choses plus grandes se jouaient. J'ai essayé d'y croire pendant des années", témoigne Olivier Raurich. Qu'a-t-il "mis de côté" avant de comprendre qu'il y a "tromperie" sur un personnage "avide de sexe, de pouvoir et d'argent" ? "J'ai finalement compris que la relation avec Sogyal Rinpoché n'était pas un facteur d'évolution spirituelle, mais plutôt d'infantilisation à long terme". (http://www.midilibre.fr/2016/10/08/temple-bouddhiste-de-lodeve-confidences-de-l-ancien-bras-droit,1406184.php - Lire aussi : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1559967-soumission-devotion-et-abus-sexuels-j-ai-enquete-sur-le-bouddhisme-en-france.html )
Les détracteurs d’Élisabeth Martens, ces « véritables connaisseurs » du bouddhisme tibétain, devront nous donner quelques explications à ce sujet, comme au sujet de beaucoup d’autres. Il ne leur suffira plus d’ignorer tout simplement les points de vue d’auteurs (ignorants ?) comme Ekai Kawaguchi, ce moine et érudit bouddhiste japonais qui, au début du 20e siècle, a passé trois ans au Tibet pour étudier et traduire les saintes écritures lamaïstes. Cet authentique connaisseur de la langue, de l’écriture, de la réalité sociale tibétaine et du lamaisme nous apprend au sujet des Saintes écritures tantriques : « I have to keep them in a closed box, for they are too full of obscene passages ». Et à propos du père fondateur du lamaïsme, le très vénéré Padmasambhava, appelé Gourou Rinpoché au Tibet, l’érudit bouddhiste japonais nous apprend qu’il fut « in practice a devil in the disguise of a priest » et se comportait comme si « he had been born for the very purpose of corrupting and preventing the spread of the holy doctrines of Buddha. »
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5,0 sur 5 étoiles
opinion d'un occidental bouddhiste depuis 1973...Parcousinfrancisle 22 septembre 2011
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Achat vérifiéBonjour. Je suis un pur occidental, mes ancêtres sont européens depuis aussi longtemps que l'on puisse remonter. Ma vision de la vie, mon éthique, mes croyances... d'adolescent ont toujours été un peu "en marge". A l'âge de 17 ans, j'ai compris, au hasard de lectures, que ma manière de voir le monde portait un nom : j'étais en fait bouddhiste sans le savoir. J'ai donc creusé le sujet, j'ai accepté ce que j'étais, je me suis tourné vers le bouddhisme Zen (il n'y avait que cela de "disponible" à l'époque ! et cela "me parlait"). Plus tard, je dirais presque "comme tout le monde", en tout cas certainement sous les influences médiatiques et bien dans l'air du temps, à cause de la personnalité charismatique du Dalaï Lama, je me suis "réorienté" vers le bouddhisme tibétain. Je m'en suis plutôt bien porté un temps... mais peu à peu, j'ai vu l'aspect dogmatique, clinquant, tous ces rituels dépourvus de sens hors de leur contexte culturel, tous ces gens qui "gobaient" un discours que je trouvais de plus en plus éloigné des propositions du Bouddha historique. Je me sens profondément en porte-à-faux, en souffrance entre ce que je crois être la "justesse" du Dharma et ce que je constate, dans les centres tibétains. Ce livre m'a choqué, m'a agacé, m'a aussi fait réfléchir. C'est un livre difficile pour tout bouddhiste, en particulier si ses convictions manquent de profondeur et sont le résultats de ce qui est devenu un "culte" rendu au Dalaï lama ! Mais se confronter honnêtement à ce livre, le lire de près, vérifier ses sources, accepter d'être bousculé dans son cerveau et dans son coeur, ne peut que nous aider à continuer d'avancer sur le chemin. Pour cela j'en remercie l'auteur(e). Aujourd'hui, je comprends que ma manière de vivre, de penser, de croire, de réfléchir, de saisir le monde, d'échanger avec ce qui m'entoure... relève sans doute d'un mélange "à ma sauce" (c'est-à-dire confronté au mode de vie occidental et à ma propre formation intellectuelle) de propositions venant à la fois du taoisme et du bouddhisme du petit véhicule. J'en viens aujourd'hui à penser que le bouddhisme tibétain est presque une "perversion" de la pensée d'origine du Bouddha. En tout cas, la vision qu'en ont les adeptes occidentaux ne me semble pas "juste", dans le sens qu'a cet adjectif pour un membre de la Sangha. Désolé si ce commentaire blesse quelqu'un, ce n'est pas mon but.
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5,0 sur 5 étoiles
Chine : la Compassion des OccidentauxParDebaisieux Georgesle 18 mai 2008
Enfin un ouvrage qui donne un éclairage neuf, transversal, sur cette question qui agite les foules et les médias plus que jamais ! Je ne suis pas non plus un spécialiste, ni un communiste ; j'ai juste la certitude que la plupart des positions plus que tranchées prises par le monde entier contre la Chine et son "emprise" sur le Tibet, sont elles-mêmes partisanes, profondément "anti-communistes primaires" au départ.
Le bouddhisme a toute ma sympathie, a priori, mais qui suis-je pour préférer ou légitimer un gouvernement à ce point lié à la religion, appartenant à un pays qui a depuis longtemps trouvé essentiel de séparer l'Etat et l'Eglise ?
Cet ouvrage démonte les mécanismes subtils et sournois qui nous ont fait passer, nous, ex-colonisateurs souvent barbares et toujours cupides, à devenir insolemment donneurs de leçons, hérauts des droits de l'homme, champions de la "Liberté", tellement bien intentionnés qu'on en viendrait à oublier la survivance intacte de notre abjecte cupidité !
Cessons de mélanger le sort des tibétains en exil, et celui des tibétains du Tibet, 20 fois plus nombreux ! Et si les Chinois font des erreurs, ce qui est certain, occupons-nous aussi des nôtres ! Cessons donc d'enseigner la "démocratie idéale" à hue et à dia, alors même que notre "way of life" est celle qui, entre toutes, précipitera le plus sûrement la planète entière dans le néant !!
Merci pour cet exposé redonnant accès à la nécessaire "multipolarité" de la fragile destinée humaine .
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5,0 sur 5 étoiles
Un livre courageuxParEnoale 17 février 2009
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Achat vérifiéIl y a certainement dans le livre d'Elizabeth Martens quelques erreurs en ce qui concerne les interprétations philosophiques, il y a des critiques justifiées. Alors pourquoi cinq étoiles? pour le courage de cette femme qui ose dans le contexte actuel dire la vérité sur la véritable histoire du Tibet et révèles des choses tabous qui doivent être révélées. Son attitude n'est pas celle d'une personne qui dénie aux tibétains des droits fondamentaux de libertés bien au contraire. Ce livre est une bombe et ne plait pas à tout le monde, mais il est à lire si l'on veut comprendre les coulisses de l'histoire. J'ai étudié la philosophie bouddhiste pendant plus de dix ans, comprends parfaitement le tibétain et j'ai vécu de nombreuses années avec les tibétains.
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4,0 sur 5 étoiles
Un autre regard et de plus accessibleParMichele Kechle 19 mai 2008
J'ai beaucoup apprécié cet ouvrage pour deux raisons principalement: son contenu très accessible m'a donné une bonne vision de l'histoire du bouddhisme tibétain ( j'avais déja commencé et abandonné deux autres ouvrages vraiment trop ardus pour une débutante ), d'autre part l'auteur qui a vécu en Chine et bourlingué pas mal au Tibet ose pauser un " autre regard" que celui " politiquement convenu " ( et qui était partiellemnt le mien ) et cela à le mérite de m'avoir ouvert l'esprit sur un "autre possible" ... je signale au passage que je ne me revendique d'aucune religion , ni politique autre que celle du respect de la différence
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5,0 sur 5 étoiles
Qui désinforme qui...ParEdigiole 19 mai 2008
Un ouvrage rafraichissant au milieu d'une multitude d'autre qui se résume surtout à un acte d'allégeance consensuel sur les positions du Dalaï-lama et du gouvernement américain, son principal bailleur de fond... Comme dit le commentaire précédent le mien : "de la propagande de Beijing...", assez grotesque à mon avis...Tout le monde sait bien que l'Université Libre de Bruxelles est un nid d'agent de la RPC...
Remarquablement organisé, d'un français attachant par ses accents belges, d'une grande précision pour qui sait lire, ce travail permettra à ceux qui cherche une information claire et dépassionné du problème tibétain d'y trouver une mine de données du plus haut intérêt. N'en déplaise aux naïfs éblouis qui comble le vide culturel de leurs existences confortables par la soumission aux cultes les plus réactionnaires, il existe des faits, une Histoire et des convictions qui permettent aux héritiers des Lumières de résister solidement aux noirceurs de l'obscurantisme religieux. Ce livre est une de ces balises dont celles et ceux qui privilégient la connaissance au détriment de la croyance, se serviront comme d'un éclairage lucide sur des événements qui pourraient, dans le pire des cas, aboutir à la domination sans partage du 'rêve américain'... A bon entendeur.
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4,0 sur 5 étoiles
Politiquement très incorrect, et c'est tant mieux !ParAlain Moliniele 22 mai 2008
Le livre se divise en deux parties. La première rappelle ou donne des éléments sur la philosophie du bouddhisme, son histoire, en particulier du bouddhisme tibétain. Certainement nécessaire j'ai trouvé cette partie du livre un peu fastidieuse, peut-être l'accumulation d'informations, peut-être le style. La deuxième partie est consacrée à l'utilisation du bouddhisme tibétain dans la géopolitique mondiale, depuis la colonisation anglaise de l'Inde jusqu'à la confrontation de l'occident et de la Chine qui se profile aujourd'hui, en passant par le 3ème reich, etc. J'ai évidemment trouvé cette partie du livre très intéressante, surtout en ces temps de propagande anti-chinoise primaire, et je n'ai eu qu'une envie : me précipiter sur la toile (internet) pour en savoir plus. On ne regarde plus sa sainteté souriante le dalaï lama (j'ai appris que lama signifie gourou) et autres lamas tel Mathieu Ricard avec les mêmes yeux après la lecture de ce livre que je trouve en quelque sorte salutaire.
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5,0 sur 5 étoiles
Un regard intelligent et lucide sur le Tibet et son BouddhismeParMichel Coolle 16 mai 2008
Enfin un livre intelligent, à la documentation fouillée, avec une recherche historique rigoureuse et sans complaisance sur l'histoire du Tibet et sur le bouddhisme tibétain.
Avec beaucoup d'humour l'auteur nous fait voyager avec talent dans l'histoire du pays des neiges.
Les surprises sont nombreuses car les clichés véhiculés par les idéalistes occidentaux en manquent de spiritualité ne résistent pas longtemps face à la réalité historique.
Au fils des pages, l'auteur détricote les idées toutes faites sur un bouddhisme tantrique et sur son chef religieux le Dalaï lama et évoque avec brio les intérêts stratégiques en jeu dans cette partie du monde.
Le bouddhisme en général et sa branche tibétaine n'ont aucun secret pour l'auteur, cela ne l'empêche pas de garder un aeil critique sur certaines dérives, ce qui ne manquera certainement pas de lui valoir certaines rancoeurs.
A lire d'urgence.
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5,0 sur 5 étoiles
Ouvrage éclairé et éclairant.ParThierryZle 6 avril 2015
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Achat vérifiéC'est très condensé et en gros un résumé de près d'un millénaire d'histoire.
Mes recherches historiques personnelles se retrouvent dans cet ouvrage qui est loin d'être le seul sur le sujet. Mais ils sont perdus parmi une foultitude d'ouvrages candides.
La partie explicitant que le choix de la savstika par le pouvoir nazi n'est pas innocent est rarement décrit et encore moins explicité aussi clairement.
En conclusion, un écrit éclairant que devrait lire tous ceux qui prônent le retour d'une théocratie violente et inhumaine au tibet, entre autre.